Lors d’une interview donnée à CNN depuis sa résidence à Port-au-Prince, le Premier ministre Ariel Henry a fait savoir sa préoccupation pour sa propre sécurité et annonce une probable libération de certains Colombiens arrêtés dans le cadre de l’enquête sur l’assassinat de Jovenel Moise.
Dans cette même interview, Ariel Henry a déclaré : “Nous ne voulons pas garder des gens en prison simplement parce qu’ils sont colombiens ou parce qu’ils sont pris pour assassins.”
Tandis qu’au moment de sa prise de fonction a la tête de la primature, en juillet dernier, soit deux semaines après l’assassinat du président Jovenel Moise, le 7 juillet dernier, Ariel Henry avait promis qu’il allait travailler d’arrache-pied afin que justice soit rendue à la famille présidentielle.
De nombreux suspects ont été mis sous les verrous, dont des citoyens américains et colombiens, révélés au cours de l’enquête, mais les responsables de la justice, de la police nationale ainsi que ceux du gouvernement, peinent à trouver le cerveau et le mobile du crime.
Par ailleurs, Ariel Henry a été accusé d’avoir entravé l’enquête. De ce fait, l’ex-commissaire du gouvernement du parquet de Port-au-Prince, Bed-Ford Claude, avait fait appel à lui, afin de témoigner sur l’affaire tout en relevant des preuves relatant qu’il a entamé plusieurs appels téléphoniques dans les heures du meurtre avec l’un des suspects clés de l’assassinat Joseph Felix Badio.
Ariel vexé, a ensuite limogé Me Claude ainsi que le ministre de la Justice Rockefeller Vincent. Lors d’une interview donnée à CNN depuis sa résidence à Port-au-Prince, le Premier ministre Ariel Henry a fait savoir sa préoccupation pour sa propre sécurité et annonce une probable libération de certains Colombiens arrêtés dans le cadre de l’enquête sur l’assassinat de Jovenel Moise.
Au cours de l’interview à CNN, Henry a nié avoir entravé l’enquête, affirmant que le couple avait été licencié « pour avoir enfreint la loi ».
« C’est important pour nous que le président Jovenel Moise ait justice, c’est fondamental pour nous et nous allons donner tous les moyens à la justice pour que justice soit faite », a-t-il déclaré.
« Nous ne voulons pas nous ingérer dans ce procès… Je ne demande même pas à savoir ce qui se passe dans l’affaire. Ce que je dis, c’est que le président doit avoir justice et cette justice doit être accompagnée de juges indépendants », ironise l’actuel prétendu chef du gouvernement.
Concernant les appels téléphoniques avec l’ancien responsable du ministère de la Justice haïtien Joseph Felix Badio, Ariel Henry a déclaré qu’il n’avait « aucun souvenir » de l’appel téléphonique « ou s’il a eu lieu ». Humour ou confusion ? Le Premier ministre se perd dans ses mots.
« Cela signifie que pour moi, ce n’était pas un appel important, si je ne m’en souviens pas », poursuit-il dans sa blague. « Je n’ai aucun intérêt à être associé à ces personnes et je ne l’ai jamais été et je ne le serai pas ».
Un suivi sera également effectué auprès du ministère de la Justice sur les allégations selon lesquelles des dizaines de citoyens colombiens ainsi que des Américains restent en détention en Haïti dans le cadre de l’assassinat, sans aucune accusation portée contre eux et un accès limité aux avocats – en violation de la loi haïtienne a précisé le ministre. La situation a laissé les organismes des droits de l’homme préoccupés par l’absence d’une procédure régulière pour les détenus.
« Je demanderai au ministère de la Justice de faire un suivi et s’il y a des innocents, ils devraient être libérés. Nous ne voulons pas garder des gens en prison simplement parce qu’ils sont colombiens ou parce qu’ils sont pris pour assassins, et qui ne sont pas des assassins », a fait savoir Ariel Henry.
« L’une des raisons pour lesquelles je pense que nous devons savoir ce qui s’est passé cette nuit-là, c’est parce que je sens que je suis également en danger, Jovenel Moise a droit à une justice exemplaire et je veillerai à ce que cette justice soit exemplaire et honnête », poursuit le Premier ministre dans ses sarcasmes.
« Nous avons demandé aux pays amis un soutien spécifique pour soutenir la police, la capacité de combattre ces bandits et de sortir de la vie publique, pour que l’économie puisse reprendre, pour que nos enfants puissent vaquer à leurs occupations de façon régulière ».
À noter que la République Dominicaine a déjà de son côté promis de pacifier Haïti dans les jours à venir. D’où une importante question : Le premier ministre qui paraît souffrir d’alzaimer, aurait-il omit de dire qu’il a offert aux dominicains l’occasion d’assouvir la soif d’occuper Haïti. Qui sait ? Peut-être qu’Ariel Henry a aussi oublié cet appel et que pour lui ce n’était pas un appel important…
« Tous ceux qui sont impliqués dans les gangs, qu’ils soient politiciens, hommes d’affaires ou autres citoyens, sont eux-mêmes des bandits et doivent subir le même sort que les bandits », a-t-il déclaré.
À noter que la République Dominicaine a déjà de son côté promis de pacifier Haïti dans les jours à venir. D’où une importante question : Le premier ministre qui paraît souffrir d’alzaimer, aurait-il omit de dire qu’il a offert aux dominicains l’occasion d’assouvir la soif d’occuper Haïti. Qui sait ? Peut-être qu’Ariel Henry a aussi oublié cet appel et que pour lui ce n’était pas un appel important…
« Tous ceux qui sont impliqués dans les gangs, qu’ils soient politiciens, hommes d’affaires ou autres citoyens, sont eux-mêmes des bandits et doivent subir le même sort que les bandits », a-t-il déclaré.
En bref, Ariel Henry ne serait-il pas en train de divaguer, car ses blagues ne font vraiment pas rire et il doit d’abord penser à se questionner sur son laxisme qui l’impliquerait sans doute dans le camp des bandits, s’il n’en est pas…
Concernant les appels téléphoniques avec l’ancien responsable du ministère de la Justice haïtien Joseph Felix Badio, Ariel Henry a déclaré qu’il n’avait « aucun souvenir » de l’appel téléphonique « ou s’il a eu lieu ». Humour ou confusion ? Le Premier ministre se perd dans ses mots.
« Cela signifie que pour moi, ce n’était pas un appel important, si je ne m’en souviens pas », poursuit-il dans sa blague. « Je n’ai aucun intérêt à être associé à ces personnes et je ne l’ai jamais été et je ne le serai pas ».
Un suivi sera également effectué auprès du ministère de la Justice sur les allégations selon lesquelles des dizaines de citoyens colombiens ainsi que des Américains restent en détention en Haïti dans le cadre de l’assassinat, sans aucune accusation portée contre eux et un accès limité aux avocats – en violation de la loi haïtienne a précisé le ministre. La situation a laissé les organismes des droits de l’homme préoccupés par l’absence d’une procédure régulière pour les détenus.
« Je demanderai au ministère de la Justice de faire un suivi et s’il y a des innocents, ils devraient être libérés. Nous ne voulons pas garder des gens en prison simplement parce qu’ils sont colombiens ou parce qu’ils sont pris pour assassins, et qui ne sont pas des assassins », a fait savoir Ariel Henry.
« L’une des raisons pour lesquelles je pense que nous devons savoir ce qui s’est passé cette nuit-là, c’est parce que je sens que je suis également en danger, Jovenel Moise a droit à une justice exemplaire et je veillerai à ce que cette justice soit exemplaire et honnête », poursuit le Premier ministre dans ses sarcasmes.
« Nous avons demandé aux pays amis un soutien spécifique pour soutenir la police, la capacité de combattre ces bandits et de sortir de la vie publique, pour que l’économie puisse reprendre, pour que nos enfants puissent vaquer à leurs occupations de façon régulière ».
À noter que la République Dominicaine a déjà de son côté promis de pacifier Haïti dans les jours à venir. D’où une importante question : Le premier ministre qui paraît souffrir d’alzaimer, aurait-il omit de dire qu’il a offert aux dominicains l’occasion d’assouvir la soif d’occuper Haïti. Qui sait ? Peut-être qu’Ariel Henry a aussi oublié cet appel et que pour lui ce n’était pas un appel important…
« Tous ceux qui sont impliqués dans les gangs, qu’ils soient politiciens, hommes d’affaires ou autres citoyens, sont eux-mêmes des bandits et doivent subir le même sort que les bandits », a-t-il déclaré.
À noter que la République Dominicaine a déjà de son côté promis de pacifier Haïti dans les jours à venir. D’où une importante question : Le premier ministre qui paraît souffrir d’alzaimer, aurait-il omit de dire qu’il a offert aux dominicains l’occasion d’assouvir la soif d’occuper Haïti. Qui sait ? Peut-être qu’Ariel Henry a aussi oublié cet appel et que pour lui ce n’était pas un appel important…
« Tous ceux qui sont impliqués dans les gangs, qu’ils soient politiciens, hommes d’affaires ou autres citoyens, sont eux-mêmes des bandits et doivent subir le même sort que les bandits », a-t-il déclaré.
En bref, Ariel Henry ne serait-il pas en train de divaguer, car ses blagues ne font vraiment pas rire et il doit d’abord penser à se questionner sur son laxisme qui l’impliquerait sans doute dans le camp des bandits, s’il n’en est pas…
Facebook Comments