Un récent rapport de l’Initiative mondiale contre la criminalité transnationale organisée (GI-TOC) met en lumière une situation alarmante dans des régions telles que Cité Soleil et Canaan, en Haïti. Des bandits violents ont été accusés de commettre des meurtres atroces, laissant les corps de leurs victimes dans les rues, mais avec une caractéristique choquante : l’absence d’organes.
Selon le rapport, basé à Genève, en Suisse, ces criminels gèrent des cliniques clandestines utilisées pour prélever des organes sur les corps des personnes assassinées. Cette découverte a suscité des inquiétudes au sein de l’organisation, suggérant la possibilité d’un trafic d’organes en Haïti.
Le rapport souligne également que les groupes criminels semblent gagner en autonomie économique et territoriale, ce qui rend leur contrôle plus difficile. Les sources interrogées dans le cadre de l’enquête confirment cette tendance, soulignant la complexité croissante de la lutte contre ces groupes armés.
Cette situation préoccupante souligne l’urgence d’une action internationale coordonnée pour aider Haïti à faire face à cette menace croissante. Les autorités locales et la communauté internationale doivent unir leurs forces pour contrer ces activités criminelles et protéger la vie des citoyens haïtiens.
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