Un brasier a ravagé le Pénitencier national le jeudi 14 mars, plongeant la plus grande prison du pays dans un tourbillon de fumée et de flammes. Cette tragédie survient 13 jours seulement après une évasion sans précédent au cours de laquelle 90 % des détenus ont réussi à s’échapper. Les circonstances de l’incendie restent mystérieuses et les autorités restent étonnamment silencieuses sur le déroulement des événements.
À ce stade, les origines de l’incendie restent inconnues, ce qui alimente les spéculations sur un lien possible avec l’évasion massive qui a eu lieu il y a moins de deux semaines. Une source bien informée a confirmé que les quelques prisonniers présents dans l’enceinte ont été rapidement évacués, ainsi que des documents sensibles.
Cependant, le voile du secret entoure toujours cette affaire. Malgré les appels à la transparence, les autorités restent silencieuses, refusant de fournir toute évaluation ou explication sur ces événements troublants. Ce manque de communication soulève des questions sur la gestion de crise et la sécurité au sein du système pénitentiaire national.
Tous les regards sont désormais tournés vers les autorités compétentes, exigeant des réponses claires et des actions immédiates pour faire la lumière sur cette série d’événements catastrophiques. Pendant ce temps, le Pénitencier national, autrefois symbole de justice et de réhabilitation, se retrouve plongé dans les ténèbres d’une tragédie sans précédent.
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