…Ces points suspensifs font office de démarrage à ce billet parceque la personne à qui il est adressé est UNIQUE en son GENRE, du coup j’ai recours à une méthodologie bizarre pour debuter.
Certains vont penser que je suis en quete d’audience ou de buzz sur les reseaux, ceux là qui me connaissent un peu mieux vont dire que c’est le sentimental en moi qui parle, mais je m’en fout de l’une comme de
l’autre opinion, ce qui importe c’est de montrer que je ne suis pas d’accord avec cette mode de conduite relevant du « n’importe comment » sur le grand Boulevard du n’importe quoi,bref! Je suis un Gar modeste qui sait qu’il ne sait pas grand chose, dont la passion pour le micro a grandit grace aux verbes de Daniel Marcelin, à la culture Generale de B.J et aux accroches lyricales de Bernier Sylvain, il est donc normal que je puisse être choqué devant cet Original vulgairement celèbre qui s’impose. Ceci etant dit, je souligne que mon destinataire est d’autant plus unique qu’il est un train qui roule sur un boulevard et non un chemin de fer.
J’ai envie de dire à cet ORIGINAL problématique qu’il ne vaut pas la peine d’être copié, parceque l’univers de la radiodiffusion est déjà assez souillé, vilipendé et mediocrisé comme ça. Si cette profession n’etait pas une seconde peau pour moi, j’aurais abdiqué au titre depuis longtemps à cause de ce VRAI, oui ce vrai débiteur de conneries et d’âneries en onde.
J’en veux à l’Eternel Dieu des bouffons( qui n’est forcement pas Jehovah) d’avoir OINT un esprit aussi tourmenté pour denoncer la bonne nouvelle.
J’en veux aux malheureux(auditeurs internautes) qui se sentent obligés de consommer « Ça ».
J’en veux aux defenseurs de la profession, dociles et complaisants qui permettent à cet audienceur de veillée funèbre de continuer à abrutir la jeune generation de la presse.
Au nom de sa participation à la bataille de 87 on nous a forcé à accepter Lilliane Pierre Paul qui pratique le genre X du journalisme, mais au nom de quoi doit on accepter ce pape Des fous. Ce train à vapeur vieux de l’epoque de la révolution industrielle ne consent pas à abandonner le trajet alorsque la fumée qu’il degage pollue l’environnement du journalisme, deja en proie à la toxicité du crétinisme.
J’ai envie de dire plus, mais je suis à cour d’euphemisme, en outre je voudrais pas être mal vu en essayant de faire voir le mal chez quelqu’un. Je ne veux pas entrer dans la logique voulant qu’il faille aboyer plus fort pour s’imposer sur un chien bruyant, parcequ’il y a risque qu’on me considère comme un chien à mon tour.
Le collectif Negr’Orangé
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