L’ex mairesse de l’Arcahaie, Rosemila Petit-Frère, n’a pas répondu à l’invitation du juge d’instruction Jean Wilner Morin qui souhaitait l’interroger à titre de témoin sur une affaire de corruption. Selon ses représentants, Mme Petit-Frére a des problèmes de santé qui lui exigent un certain temps de repos.
Rosemila Petit-Frère, convoquée dans le cadre d’une enquête sur des faits de corruption, a informé les autorités judiciaires qu’elle ne pourrait pas se présenter au cabinet d’instruction ce mercredi comme prévu. Ses avocats ont fait valoir que son état de santé était précaire.
Dans une lettre adressée au juge Morin, les avocats de Rosemila Petit-Frère proposent deux alternatives pour recueillir sa déposition. Ils suggèrent que le juge de paix de l’Arcahaie soit autorisé à prendre sa déposition dans ce dossier, compte tenu de sa situation médicale. Ils ont également proposé d’attendre la fin de sa convalescence, fixée au 30 juillet prochain, pour qu’elle puisse se rendre au cabinet d’instruction.
Le juge Morin devra maintenant décider de la suite à donner à cette affaire. Il devra examiner les arguments avancés par les défenseurs de Rosemila Petit-Frère et évaluer les options disponibles pour garantir les procédures judiciaires, tout en tenant compte de l’état de santé de l’ex-mairesse de l’Arcahaie.
Dans l’attente de la décision du juge Morin, l’opinion publique suit de près l’évolution de cette affaire, espérant que la vérité sera établie et que les responsabilités seront déterminées dans le respect des droits et de la santé de tous les protagonistes impliqués.
Facebook Comments