Dans un scénario apocalyptique à Port-au-Prince, la quête quotidienne de survie des habitants est exacerbée par l’assaut incessant des bandes armées de la coalition “Viv Ansanm”. Alors que la violence éclate, la capitale haïtienne est plongée dans une pénurie d’eau potable sans précédent, laissant des quartiers entiers, dont Pétion-Ville, Delmas, Croix-des-Bouquets, entre autres assoiffés.
Les kiosques à eau, essentiels à la vie quotidienne, sont fermés, obligeant les habitants à effectuer des trajets épuisants pour trouver de l’eau potable. Certains sont contraints d’adopter des solutions alternatives telles que l’eau bouillie pour satisfaire leurs besoins élémentaires. Guito Eduard, directeur général de la DINEPA, souligne la détérioration dramatique de l’approvisionnement en eau potable, avec seulement 4 des 24 forages opérationnels.
Dans ce cauchemar, le gouvernement haïtien a déclaré l’état d’urgence et imposé un couvre-feu, mais les bandes armées, menées par le leader charismatique Barbecue de “Viv Ansanm”, défient toujours l’autorité. Alors que la violence persiste, la possibilité d’une intervention multinationale se profile, tandis que le pays risque de sombrer dans la guerre civile si les demandes de démission du Premier ministre Ariel Henry ne sont pas satisfaites.
Cette crise sans précédent suscite l’inquiétude du monde entier, mettant en lumière les dangers immédiats auxquels sont confrontés les Haïtiens et menaçant l’avenir politique du pays. L’attention internationale se concentre sur cette tragédie complexe, où la quête désespérée d’eau potable se mêle à la lutte pour la survie politique d’une nation en plein chaos.
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