Dans une récente déclaration, Himler Rébu, membre éminent du Groupe de Réflexion sur l’État et l’Humanisme (GREH), a exprimé de sérieuses inquiétudes quant à la viabilité de l’actuel Conseil présidentiel. Selon lui, la présence de leaders politiques au sein de cette structure compromet sérieusement ses chances de succès.
M. Rébu a souligné l’urgence d’adopter un plan alternatif, le plan B, afin d’éviter un échec inévitable. Le plan prévoit la nomination d’un juge de la Cour de cassation pour assumer un rôle clé dans le processus de prise de décision, ainsi que la nomination d’un Premier ministre et la formation d’un gouvernement compétent.
L’avertissement de M. Rébu met en lumière les défis critiques auxquels est confrontée l’administration actuelle et soulève des questions quant à sa capacité à répondre efficacement aux besoins et aux attentes de la population. Alors que le Conseil présidentiel semble être sur une trajectoire incertaine, il est impératif que des mesures concrètes soient prises pour assurer la stabilité et le succès du gouvernement.
L’appel de M. Rébu à une transition rapide vers le plan B est un rappel urgent de l’importance de la mise en place de structures gouvernementales solides et impartiales. Si ses avertissements ne sont pas pris en compte, le risque d’une crise politique majeure ne fera que s’intensifier.
En fin de compte, il appartient aux autorités de prendre des mesures décisives pour restaurer la confiance du public et garantir un avenir politique stable et prospère. La question cruciale demeure : le gouvernement sera-t-il prêt à agir de manière décisive pour éviter les écueils annoncés par Rébu, ou choisira-t-il de suivre une voie incertaine qui pourrait conduire à un désastre politique ?
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