L’Union des Parents d’élèves Progressistes d’Haïti (UPEPH) a dans une conférence de presse exigé des actions concrètes du gouvernement face à l’insécurité, et a aussi exprimé leur inquiétude au ministre de l’éducation nationale Nesmy Manigat.
L’UPEPH a confirmé la fermeture de 103 écoles entre les communes de Gressier et Carrefour depuis l’instauration du climat de terreur par le gang de Mariani. Préoccupée, la structure syndicale appelle les autorités concernées à assumer leur responsabilité.
« Il est crucial de permettre à des milliers de jeunes touchés par cette situation de retrouver rapidement le chemin de l’école », a insisté l’UPEPH.
Il faut aussi noter que plusieurs autres établissements scolaires de la région métropolitaine sont également occupés par des dizaines de familles réfugiées qui échappent à la fureur des gangs armés dans le pays.
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