À la veille de la Journée Internationale de lutte contre les violences faites aux femmes et aux filles (VFFF) le 25 novembre, les Nations unies ont insisté sur la nécessité de combattre ce fléau et de porter assistance aux personnes victimes.
Combattre les violences faites aux femmes et aux filles est un impératif, a lancé les Nations unies. À la veille de la Journée Internationale de lutte contre les violences faites aux femmes et filles, la Coordinatrice résidente Ulrika Richardson, insiste sur la nécessité de continuer à investir dans la lutte contre ce fléau et l’assistance aux victimes.
La représentante spéciale adjointe du secrétaire général, Coordonnatrice résidente et Coordonnatrice humanitaire en Haïti, Ulrika Richardson croit qu’il est plus qu’urgent d’agir, car dit-elle, « il n’y a tout simplement pas d’excuse ».
Les violences sexuelles et basées sur le genre ont atteint un niveau alarmant du fait de la dégradation de la situation sécuritaire liée à l’expansion des activités des gangs armés.La représentante spéciale adjointe du secrétaire général, Coordonnatrice résidente et Coordonnatrice humanitaire en Haïti, Ulrika Richardson croit qu’il est plus qu’urgent d’agir, car dit-elle, « il n’y a tout simplement pas d’excuse ».
« Les violences sexuelles et basées sur le genre ont atteint un niveau alarmant du fait de la dégradation de la situation sécuritaire liée à l’expansion des activités des gangs armés. Il est aujourd’hui plus qu’urgent d’agir et de poursuivre les actions visant à soutenir la réponse nationale à travers une approche coordonnée et de façon durable contre ce fléau qui bafoue les droits des femmes et des filles », a écrit M. Richardson.
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