Depuis 2010, pas moins de six entraîneurs ont pris en charge l’équipe masculine d’Haïti, et une analyse de leurs performances lors des sept premiers matchs révèle des résultats mitigés. Les débuts de Gabriel Calderon se démarquent comme particulièrement difficiles. Cependant, cette situation soulève des interrogations plus profondes concernant la direction et les politiques de la FHF.
Il apparaît clairement que la nomination du prochain entraîneur national ne pourra à elle seule améliorer la situation du football en Haïti. Au contraire, cela souligne le manque de vision et d’engagement de la part des responsables de la FHF pour favoriser le développement du sport dans le pays.
Cependant, il est impératif que toute décision à venir soit prise avec sagesse et précaution par un nouveau comité de normalisation temporaire, assurant ainsi un avenir plus radieux pour le football haïtien.
En revanche, il est essentiel que toute décision future sur la mise en place d’un de nouveau comite de normalisation temporaire soit prise avec sagesse et prudence afin de garantir un avenir plus prometteur pour le football haïtien.
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