L’incertitude plane sur la future composition du Conseil présidentiel, les acteurs politiques étant restés divisés jusqu’à ce vendredi 8 mars, malgré le départ confirmé d’Ariel Henry. Même les signataires de la Déclaration de Kingston n’ont pas réussi à se mettre d’accord sur les personnalités destinées à diriger cet organe crucial.
Un groupe prône l’inclusion du Collectif du 30 janvier, de Fanmi Lavalas et de l’Accord de Montana, chacun ayant son propre représentant au Conseil. Un autre groupe s’y oppose catégoriquement, prolongeant ainsi l’impasse.
Des sources proches des négociations révèlent que la communauté internationale a suggéré d’intégrer la Cour de cassation au Conseil présidentiel, ajoutant ainsi une nouvelle dimension aux délibérations en cours.
Alors que les spéculations vont bon train sur la nomination du prochain Premier ministre intérimaire ou sur le maintien du ministre des finances, l’orientation future du Conseil présidentiel reste incertaine. Les scénarios possibles vont de la continuité à des changements importants, soulignant la complexité de la situation politique actuelle en l’absence d’Ariel Henry.
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