Un récent rapport de l’ULCC a déclenché une tempête médiatique, mettant en lumière des personnalités influentes accusées de corruption. Parmi elles, certaines ont dirigé leur colère contre le journaliste de la Radio Télévision Caraïbe (RTVC) Johnny Ferdinand, critiquant vivement sa couverture du rapport.
Des menaces ont été proférées à l’encontre de Ferdinand, principalement par d’anciens membres puissants du parlement. Ils semblent avoir du mal à accepter la manière dont le journaliste a traité les révélations du rapport, ce qui les a conduits à s’enquérir de sa localisation.
La tension monte également autour du directeur général de l’ULCC, Hans L. JOSEPH, qui est dans le collimateur des présumés corrompus. Ces derniers, en colère et frustrés par les implications du rapport, semblent prêts à tout pour défendre leur réputation.
Cette escalade de la confrontation souligne les enjeux sensibles de la lutte contre la corruption, en mettant en évidence la pression exercée sur les médias et les organes de régulation. L’affaire soulève des inquiétudes quant à la sécurité des journalistes impliqués dans des enquêtes de cette nature, ainsi qu’à l’indépendance des institutions chargées de faire la lumière sur de tels scandales.
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