À l’ombre du Gymnasium Vincent, en plein cœur de la capitale haïtienne, le désespoir des déplacés persiste, soulignant l’insuffisance des services sociaux de base sous le gouvernement d’Ariel Henry.
Malgré les fêtes de fin d’année, les déplacés expriment leur désarroi, soulignant l’absence de raison de faire la fête dans leurs conditions difficiles. Un jeune critique dénonce clairement l’indifférence des fonctionnaires, affirmant que les festivités n’ont pas leur place dans cette réalité précaire.
Le Lycée Cent Cinquantenaire accueille également des citoyens confrontés à des conditions critiques, sans que le gouvernement ne s’intéresse à leur sort. L’indifférence apparente face à la misère et aux conditions sanitaires déplorables soulève des questions sur la compassion du gouvernement.
Depuis leur fuite en août dernier, les conditions de vie des personnes déplacées n’ont cessé de se détériorer, menacées par la malnutrition. L’inaction flagrante d’Ariel Henry amplifie le désespoir de ces personnes vulnérables.
En cette période de fêtes, l’insécurité, les problèmes sociopolitiques et les conséquences de l’inflation perturbent les célébrations. Les rues désertes de la capitale soulignent une nation en souffrance, révélant une réalité bien loin de la joie attendue.
En conclusion, le sort des personnes déplacées met en évidence l’incapacité du gouvernement d’Ariel Henry à répondre aux besoins fondamentaux de ses citoyens. Alors que l’année touche à sa fin, le désespoir laisse présager de sombres perspectives pour 2024, soulignant le besoin urgent d’une action gouvernementale immédiate et efficace.
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