Mardi dernier, le récent rapport de 158 pages publié par l’ONU a fait la une des journaux, révélant plusieurs grands noms comme principaux fournisseurs des gangs en Haïti. Il s’agit notamment de Reynold Deeb, Youri Latortue, Michel Martelly et Profane Victor. Cependant, le 13 novembre 2023 sera un jour alarmant, car l’Organisation des Nations unies (ONU) s’apprête à publier une nouvelle liste de noms impliquant plusieurs personnalités haïtiennes, y compris des politiciens et des acteurs du secteur privé, accusés d’être également des fournisseurs des gangs armés qui ont semé la violence et le chaos dans le pays.
La complicité de personnalités haïtiennes du monde politique et du secteur privé dans des activités liées aux gangs armés est depuis longtemps une source d’inquiétude. Des allégations suggèrent que des individus influents ont pu faciliter ou collaborer avec des gangs criminels pour protéger leurs intérêts, par le biais d’accords tacites ou d’autres moyens. La prochaine liste des Nations unies pourrait révéler l’ampleur de cette implication.
Les noms de Reynold Deeb, Youri Latortue, Michel Martelly et Profane Victor ressortent de ces allégations, jetant une ombre sur leur carrière et leur réputation. Ces personnalités autrefois puissantes et respectées sont aujourd’hui soumises à une pression croissante pour expliquer leur rôle présumé dans la fourniture de ressources ou de soutien à des groupes armés opérant en Haïti.
Une personnalité influente de la presse haïtienne figure sur la liste.
En plus des politiciens haïtiens et des personnalités du secteur privé mentionnés ci-dessus, une personnalité influente de la presse haïtienne sera également dévoilée lors de cette journée importante. La presse haïtienne sera également touchée par cette annonce, avec laquelle les Nations unies clôtureront cette importante question le 13 novembre. Cette personnalité influente de la presse haïtienne est sur le point d’être identifiée comme ayant des liens étroits ou indirects avec des activités de bandes armées, et son nom sera rendu public le 13 novembre. Cette nouvelle a déjà ébranlé la presse haïtienne, soulevant des inquiétudes quant à son indépendance et son intégrité.
L’implication de la presse dans ce scandale présumé soulève des questions importantes sur la liberté de la presse et la capacité des médias à enquêter de manière impartiale sur des questions sensibles. Les autorités et les organisations internationales devront suivre la situation de près pour s’assurer que la liberté d’expression en Haïti n’est pas compromise.
Le 13 novembre 2023 pourrait marquer un tournant dans l’histoire d’Haïti, en révélant des liens troublants entre des personnalités influentes et les groupes armés qui ont déstabilisé le pays. Les conséquences de ces révélations restent incertaines, mais il est clair que l’impact sur la politique haïtienne, le secteur privé et les médias sera profond et durable.
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