Une voix anonyme s’élève dans le tumulte de la violence à Carrefour-Feuilles, révélant l’impunité des gangs et accusant le Premier ministre Ariel Henry de laisser s’installer la terreur. Alors que les rues de ce quartier deviennent le théâtre d’une guerre urbaine, cet habitant désespéré tire la sonnette d’alarme sur l’indifférence des autorités et pointe du doigt les conséquences potentielles d’une situation qui pourrait plonger Haïti dans le chaos.
Dans une interview exclusive accordée à un journal local de la capitale, cette jeune femme anonyme explique comment les gangs ont transformé Carrefour-Feuilles en une zone de non-droit, terrorisant les habitants qui sont contraints de fuir face à cette vague d’insécurité grandissante. “Les lions sont lâchés pour nous manger tout crus”, dit-elle avec une amertume palpable. Elle fait référence aux actions des gangs, dont l’emprise sur le quartier ne cesse de croître, laissant derrière eux des maisons incendiées et des vies détruites.
Le Dr Josué Renaud, directeur de l’organisation de défense des droits de l’homme NEHRO, a anticipé ces événements dans une interview récente, en avertissant que les gangs liés à Ariel Henry plongeraient le pays dans le chaos, créant ainsi un prétexte pour une intervention militaire étrangère. Malheureusement, ces prédictions se sont réalisées, soulignant l’urgence de la situation actuelle.
L’impact de cette crise a été révélé de manière choquante à Tabarre, où les gangs ont forcé les habitants à se réfugier devant l’ambassade américaine. Cette scène alarmante a révélé l’étendue du contrôle exercé par les gangs, soulignant l’incapacité des autorités à garantir la sécurité des citoyens.
La résidente anonyme a témoigné qu’elle avait vu des maisons brûler à Carrefour-Feuilles, avec des habitants coincés à l’intérieur. Les gangs, retranchés dans des positions élevées, semblent échapper aux forces de police qui tentent d’intervenir.
Cette situation dramatique révèle cruellement les lacunes sécuritaires d’Haïti. L’appel désespéré de cet habitant souligne l’urgence d’une action décisive pour enrayer l’aggravation de la crise. Alors que tous les regards se tournent vers les autorités, certains se demandent s’ils ne sont pas eux-mêmes impliqués dans cette situation alarmante.
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